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METHODE POLITIQUE
 
"Les Marionnettes de l'Ombre : La Tragédie de la Démocratie Feinte".
 
    Dans le silence de notre soumission, nous attendons que l’on nous assigne un rôle, tel un acteur sur la scène d'une tragédie feinte, déguisé en démocrate alors qu'en vérité, nous ne sommes que des marionnettes dans l'immense théâtre de l'illusion. Les élections, ce grand rituel que l'on prétend être le pilier de la démocratie, n'est rien d'autre qu'une mise en scène soigneusement orchestrée. Elles sont le miroir déformant où les ambitieux politiciens voient leurs reflets glorifiés, persuadées de la légitimité de leur folie et de leur pouvoir.
 
    Mais, oh triste réalité ! Ces élections ne sont que le reflet d'une farce, où le destin de la multitude est dicté non par sa volonté, mais par les desseins obscurs d'une minorité financière, cette éminence grise qui, telle une araignée tissant sa toile dans l'ombre, joue avec les ficelles du pouvoir, exploitant les ambitions dévorantes et les égos surdimensionnés des serviteurs du trône maléfique.
 
    Ces marionnettistes de l'ombre, avec leurs mains gantées d'or, dirigent la danse des politiciens, les utilisant comme des pions dans un jeu dont les enjeux dépassent la compréhension des plus humbles, sacrifiant sans remords l’intérêt des Nations et des Peuples sur l'autel de leurs désirs égoïstes et disproportionnés.
 
"L'Écho de la Nation : Notre Quête Démocratique Sacrée".
 
    Dans la grandeur de notre responsabilité démocratique, nous, sentinelles de la République, sommes investis de la tâche sacrée de désigner ceux qui façonnent notre destin. Point n'est le temps de laisser nos âmes se perdre dans les mirages d'hommes portant le masque de la vertu, mais animés par l'ego dévorant, ni de se laisser séduire par des partis, semblables à des feuilles soufflées par la tempêtes, qui déchirent le tissu fragile de nos Nations et de l’intérêt général.
 
    Notre quête, noble et impérieuse, doit converger vers des hommes éclairés par une vision, un rêve de société qui reflète notre essence, une vision qui, tel un phare, embrasse et illumine chaque recoin de la Nation. Car, le véritable intérêt général, ce Graal démocratique, ne doit point être la proie d'une majorité éphémère ou d'une minorité avide illégitime. Il réside, inébranlable, dans le cœur battant de toute la nation, vibrant à l'unisson.
 
"Symphonie d'Une Nation : L'Appel à l'Unité Indivisible".
 
    Dans la vaste mosaïque qu'est notre Nation, l'intérêt du peuple, tel un rayon de lumière pur, demeure indivisible, puissant et sans spectre. Dans la quête des voix qui guideront notre destin, nous ne devons tendre l'oreille qu'à celles qui résonnent avec le timbre de nos espérances, et qui chantent l'avenir en harmonie avec les notes gravées dans nos cœurs. Loin des divisions mesquines et des éclats partisans, notre Nation aspire à une symphonie où chaque classe joue sa partition, non pas dans la dissonance, mais dans une danse de complémentarité génératrice de justice.
 
    Une Nation, dans sa vraie splendeur, n'est point bâtie sur les sables mouvants des partis, qui divisent plus qu'ils ne rassemblent, qui n'ont leur place que lorsque l'intérêt général est accompli. Elle s'élève, majestueuse et inébranlable, sur les fondations d'une solidarité sans faille. Et dans ce grand orchestre qu'est notre patrie, le refrain qui résonne avec le plus de vigueur, éclipsant tout égoïsme et tout sectarisme, n'est autre que : "Un pour tous, et tous pour un."
 
"Démocratie Chimérique : L'Appel à la Véritable Représentation".
 
    Face aux grandes chartes, ces toiles qui encadrent notre grand théâtre politique, nous ne saurions accepter celles qui omettent le mandat sacré, impératif. Que les tribuns, et même les monarques républicains, soient élus par le cœur battant de chaque citoyen, mais à travers la juste mesure d'une proportionnalité intégrale.
 
    Dans l'arène d'une démocratie, aussi vaste et magnifique que nos terroirs, ceux qui portent la toge de l'élu se doivent d'être les fidèles miroirs de nos espoirs, de nos rêves. Sinon, qu'ils rendent la confiance, l'étendard que nous leur avons prêté. Que leur mission ne faiblisse point, qu'elle demeure constante et intangible, telle une veille et un devoir éternel.
 
    Ces voix doivent échoir du peuple, de ses espérances, et non des salles obscures des partis, des chambres du pouvoir, ou des murmures des intrigants. Car, dénués de cette âme, ils ne sont que pantins illégitimes dans une tragédie feinte, une démocratie de façade, dont le visage, bien qu'orné, n'est que chimère, dont les paroles, quoique dorées, sont vides d'essence et d'étoiles.
 
"L'Interrogation Éternelle: Liberté Sacrifiée et Destinées Jouées".
 
    Ce plaidoyer, vaste comme le ciel étoilé qui veille sur notre destin, qui transcende les montagnes, les océans, et toutes les cloisons construites par l'humanité. Il s’élève, vibrant d'un écho universel, touchant le cœur de chaque être, sans égard pour son sol natal, son sexe ou sa foi. Dans ce grand rôle que joue l'humanité, l'homme, tel un acteur sacrifiant une part de sa liberté, monte sur la scène de la société pour la défendre sans compromission.
 
    Mais dans ce théâtre grandiose, se demande-t-il, suis-je protégé ou prisonnier ? suis-je acteur ou spectateur, ébloui par le rôle qu'il joue ou éclipsé dans l'obscurité ? Les générations qui s'écoulent, tels les sables du temps, ne doivent-elles pas ériger une scène toujours plus lumineuse pour ceux qui suivront ? Ou serions-nous, tels des marionnettes, ballotées et manipulées par les fils tirés par ces pilleurs cousus d'or et d'argent, ces ombres vagabondes qui se jouent des nations des peuples et des destins ?
 
"L'Hymne de l'Équité contre les Faux Dirigeants".
 
    Dans l'immense théâtre de l'humanité, où chaque âme se bat pour son refrain, la grande symphonie de la société ne doit sonner que l'hymne du bien-être universel. Mais hélas ! Combien de faux chefs d'orchestre, avec leurs baguettes trompeuses, osent diriger un air discordant, prétendant agir pour le bien de tous, alors qu'il privilégie les plus puissants.
 
    Quand la mélodie promise devient une cacophonie décevante, où l'intérêt des peuples est sacrifié pour les caprices d'une pseudo-élite. Alors, citoyens ! Nous devons élever notre voix, rejeter ces charlatans et ne danser que sur la musique de l'équité, là où chaque note résonne pour le bien de tous, non pour quelques-uns.
 
"L'Appel du Peuple : Devoir pour l'Avenir".
 
    Dans cette vaste scène qu'est notre nation, combien sont-ils à nous présenter, avec éloquence trompeuse, des mirages du passé ou des illusions de stagnation ? Ils clament que la politique est un art très spécial qui s'apprend. Nous citoyens, nous clamons haut et fort : nous incarnons l'âme de la nation, nous sommes le Peuple, et par là même, la véritable essence de la politique.
 
    Par le doux murmure des rires d'enfants, nous apercevons l'aurore d'un futur resplendissant. Il est de notre devoir sacré, plus impérieux que tous, de léguer à ces âmes innocentes un monde bien plus lumineux que celui qui nous a accueillis en son sein et qui nous berce de promesses non accomplies.
 
"L'Éveil face aux Marionnettistes : Le Cri du Peuple".
 
    Dans cette grande mosaïque qu'est l'humanité, c'est à nous, peuple citoyen, de sculpter les pages de l'histoire future. C'est notre choix, notre devoir inébranlable, d'ériger une société éclatante pour nos progénitures, où le bien commun brille comme un phare, sans jamais éclipser le désir individuel.
 
    Mais, hélas! Combien sont-ils à se draper dans la cape de l'autorité, ces marchands d'illusions, soufflant dans leurs médias des promesses éphémères ? Ils tirent les ficelles de leurs marionnettes obéissantes, les gavant, corrompant, manipulant, pour qu'ils ne se posent pas de questions comme des chiens fidèles. Ces marionnettes, dans une danse grotesque, attendent leur récompense, trahissant non seulement le sol sacré de notre nation, mais le cœur battant de ses citoyens qu'ils trahissent.
 
La Voix de l'État et du Citoyen
 
    Dans l'immense théâtre de l'humanité, où les destins se jouent et où les cœurs palpitent à l'unisson, l'État se doit d'être la noble sentinelle, le gardien fidèle au service du citoyen. Ah ! Que l’on se méfie de ces sirènes qui chantent que l'État et le citoyen ne font qu'un ! Car tel est le leurre des despotes. L'État, tel un navire majestueux, est conduit par la volonté des âmes qui l'habitent, et non l'inverse. Il n'est rien d'autre que l'outil forgé par la multitude, portant leurs espoirs et leurs rêves, naviguant sur les mers tumultueuses pour veiller à ce que la justice, décidée par la majorité, prévale.
 
    Or, qu'est-ce qu'un État, lumineux phare dans l'obscurité, s'il marche main dans la main avec la volonté de son peuple ? Pourquoi aurait-il besoin de remparts, de boucliers, si ce n'est pour se protéger de ses propres fautes, de ses propres trahisons ? Un État véritable, intègre et juste, n'a point besoin de gardes. Seul un État ombrageux, comme le scélérat dans les recoins sombres de la cité, a besoin de ses ombres, de ses sbires, pour imposer son joug et semer la peur dans les cœurs des innocents qu'il oppresse et veut soumettre par la violence.
 
L'Éclipse de la Démocratie
 
    Au cœur de cette vaste République, où chaque voix devrait scintiller comme une étoile dans le ciel nocturne, s'élèvent les colonnes du Parlement, temple sacré de la démocratie. Mais quelle désolation si ces piliers, ces gardiens de la liberté, n'étaient que des remparts dans le théâtre des puissants ? Que serait ce temple si ses portes étaient commandées par d'autres que ceux qui y siègent, faisant de lui un mirage trompeur, un leurre démocratique pour les innocents ?
 
    Dans les ombres de cet édifice, l'État, autrefois protecteur des idéaux républicains, semble avoir été capturé, devenu l'instrument d'une minorité oligarchique nauséabonde. Ceux qui une fois incarnèrent l'espoir et la confiance du peuple, ces parlementaires, semblent aujourd'hui marcher, tels des pantins, sur les fils tirés par des maîtres invisibles, éloignés des misères et des espoirs du peuple qui les a élu.
 
    Et voilà que dans cette grande tragédie, l'État semble légiférer non pour le peuple mais contre lui, pour les princes de l'ombre, pour ces titans d'or qui jouent avec les destins de millions de personnes. Là où le devoir sacré de l'État était de veiller à la justesse des lois, il semble aujourd'hui s'en éloigner, marchant contre lui-même, contre ses fils et filles, contre la grande Nation, pour satisfaire ces seigneurs du capital, ces spéculateurs qui ne connaissent ni frontières ni loyautés, ni honte, ni scrupules.
 
L'Équilibre Brisé de la Justice
 
    Dans le vaste échiquier de la société, quelle étrangeté voit-on lorsque la justice, telle une balançoire, penche d'un côté, bafouant l'équité. Lorsque le juge, tel un sculpteur, façonne la loi à sa guise, s'aventure-t-il non plus à la servir, mais à la créer ? Elle ébranle ainsi les fondements de notre ordre protecteur, la séparation des pouvoirs.
 
    Oh combien folle est cette société, où sous le masque lumineux de "justice", se cache une caricature de son essence, de ce qu’elle doit être ! Imaginez deux hommes, l'un portant le fardeau du salaire minimum, l'autre baignant dans l'opulence des écus dorés. Et voilà, par un caprice du destin, tous deux fautent en bravant les règles.
 
    Alors l'incroyable se produit ! Sous le prétexte trompeur d'"égalité", l'on demande au pauvre et au riche le même tribut. Une somme fixe, une taxe qui écrase l'un tandis qu'elle chatouille l'autre. Et l'on ose nommer cela Justice ? Quelle dérision, quelle trahison ! Quelle tragédie pour l'équité, bafouée sous le poids de la tromperie, du mensonge et de l’injustice !
 
    Dans l'arène du droit, combien étrange et troublante est la danse, lorsque le juge, non élu, non revêtu de la confiance directe du peuple, prend la plume du législateur ! Tel un acteur usurpant le rôle d'un autre sur la scène, il s'aventure sur un terrain qui n'est pas le sien, se laissant guider par l'ombre d'une jurisprudence, à tisser des lois à partir des fils d'ambiguïtés textuelles de l'interprétation !
 
    Ah ! Quelle folie que de laisser la barque de la justice dériver au gré des vagues capricieuses de l'interprétations, quand seuls les rameurs désignés par la voix du peuple devraient tracer la route ! Dans une démocratie authentique, n'est-ce point au législateur, émissaire choisi du peuple, de définir la trajectoire ? Le peuple, ce cœur battant, ce socle inébranlable de la Nation, doit-il être spectateur silencieux de sa propre destinée législative ?
 
Le Paradoxe de la Volonté Citoyenne
 
    Dans le grand théâtre qu'est notre société, une maxime se perd dans le tumulte: "qui peut le plus peut le moins". Oh, combien curieuse est cette scène, où l'homme, humble citoyen, tient entre ses mains le destin d'un autre, le propulsant au firmament du pouvoir. Par ce choix, cet homme couronné peut, s'il a mal été choisi, par un simple décret, mettre à l'épreuve le souffle fragile de la vie, l'envoyant dans la danse macabre de la guerre ou en éveillant le terrifiant spectre d'un cataclysme nucléaire. Pourtant, dans une pirouette d'ironie, ce même citoyen, armé du pouvoir de façonner la destinée d'une nation, se voit refuser le droit de désigner celui qui juge ses actes, ou le protecteur qui le garde des ombres de l'injustice. Est-ce un jeu cruel ou un manque de foi dans la clairvoyance du peuple ?   
 
    Chaque homme, chaque femme, face au miroir écrasant du pouvoir, doit se voir refléter un élu, un représentant, portant la même aura, la même étoile que le monolithe de l'État - ce géant qui, dans son essence, ne devrait être qu'un simple ouvrier au service du peuple dans le grand atelier de la République.
 
L'Étrange Ballet des Injustices
 
    Oh, dans cette vaste mer tumultueuse qu'est notre société, combien d'injustices avons-nous vu s'épanouir, telles de sombres fleurs sur un sol fertile ! Lorsque l'agresseur, ce loup impitoyable, est paré de plus de droits, de plus de libertés que l'agneau qu'il a sauvagement attaqué, ne sommes-nous pas témoins d'une folie sans nom ?
 
    La victime, cette douce mélodie brisée, est contrainte, par un sort cruel, de puiser dans ses réserves pour se défendre, pour ériger une barrière contre les flèches empoisonnées de son agresseur. Et pendant ce temps, ce dernier, ce monstre déguisé en homme, ne porte point le poids de ses crimes, ne ressent point le lourd fardeau de ses transgressions et ne doit rien à personne, surtout pas à sa victime.
 
    Est-ce là l'harmonie que nous désirons pour notre monde ? Une danse macabre où l'innocent paie pour les péchés du coupable ? Que cette symphonie de l'absurde cesse, et que la justice retrouve sa mélodie pure et vraie. Ce que la victime revendique n'est pas d'avoir un droit supérieur à son bourreau, bien qu'il pourrait y prétendre, mais qu'au moins il soit identique à celui qui l'agresse ! Quel monde de fous !
 
Les Échos Dissonants de la Révolte
 
    Dans ce vaste théâtre qu'est notre monde, où les destins se croisent et se heurtent, combien est-il déconcertant de voir les voix syndicales, ces défenseurs passionnés de l'ouvrier, marcher sur une scène bancale ! Ils implorent, dans un élan de ferveur, des aumônes pour les masses auprès d'entreprises déjà agonisantes, tels des mendiants réclamant à un autre mendiant.  Mais là où l'or coule à flot, là où les coffres débordent des fruits d'un labeur collectif, leurs chants révolutionnaires s'évanouissent, tels des murmures perdus dans l'immensité d'un océan.
 
    Ah, combien étrange est cette symphonie ! Où ceux qui se disent protecteurs des affamés ne réclament pas le festin où il est réellement servi au moment de ce partager les bénéfices. Que leurs cris s'harmonisent avec la réalité de notre époque, et que la justice soit véritablement recherchée, non seulement dans le bruit qui ne sert pas à grand chose, mais aussi dans le silence de la réflexion bénéfique pour ceux qu'ils sont censés défendre.
"L'Or et l'Injustice : Le Cri des Oubliés"
 
    Oh ! Dans ce vaste amphithéâtre de la destinée humaine, combien est macabre la danse des richesses qui, telles des étoiles lointaines, scintillent mais ne réchauffent point le cœur du peuple !
 
    Chaque jour, l'or coule, telle une rivière qui pourrait désaltérer chaque âme, chaque enfant, chaque vieillard, chaque être en état de faiblesse en quête d’une vie décente. Cette manne pourrait offrir le pain, le toit, l'ouvrage, la chaleur d'un foyer à chacun.
 
    Mais, hélas ! Dans cette fresque de la vie, les spéculateurs milliardaires, ces monstres insatiables, s'accaparent le trésor qui devrait être redistribué à tous. Telles des chimères du néant, ils s'engraissent de ce qui aurait pu être la promesse d'un monde meilleur, transformant leur or en chaînes pour les autres, condamnant des âmes à la faim, à la misère. Ils engendrent des guerres, éteignent des vies, et tissent la trame d'un futur nauséabond, son foi ni loi et sans principes.
 
    Puissent les voix des peuples s'élever ! Et que la justice, telle une aurore nouvelle, se lève à l'horizon, chassant les ténèbres d'une économie égarée et accaparée par des voleurs et des scélérats !
 
L'Or et l'Ombre : La Complainte des Richesses Perdues.
 
    Dans le grand théâtre du monde, voilà notre société moderne, en proie à une mélodie sourde et glaciale, celle de l'argent détourné. Dans cette danse macabre de notre économie, plus d'un tiers des trésors que la sueur et le labeur ont façonnés s'égare. Loin des mains laborieuses, ils flottent, tels des spectres, vers les abîmes spéculatifs, ces sanctuaires intouchés des titans aux poches profondes.
 
    Cette transmutation des richesses, de substance vivante en ombre vaporeuse, crée une spirale infernale, sombre et vertigineuse, où ce précieux tiers, jadis censé être le cœur palpitant de notre économie, s'évapore. Il se perd, s'envole, ne servant qu'aux jeux sombres des marchés financiers, telle une pièce d'or jetée dans un trou noir cosmique.
 
    O, quel grand paradoxe ! Là où le travail se transforme en or, ce dernier ne revient point à celui qui l'a extrait de la terre. "À l'œuvre, sa récompense", clamait-on jadis ! Pour chaque goutte de sueur, un salaire mérité ; pour chaque trésor créé, une part équitable à partager. Que cette maxime retrouve sa place au sein de nos cœurs et de nos lois, afin que la lumière chasse l'ombre, et que l'équité règne enfin.
 
Le Pacte Brisé des Richesses
 
    Au sein de cette vaste fresque qu'est notre monde, notre économie, telle une dame affaiblie, chancelle et trébuche dans la sombre vallée de la récession. Et voici que, telle une ironie cruelle du destin, un tiers des dorures qu'elle produit, plutôt que de couronner la tête laborieuse du travailleur, s'égare dans les labyrinthes glacés des marchés spéculatifs.
 
    Ces labyrinthes, o combien sont-ils gardés jalousement par les titans de notre époque, les milliardaires et leurs fondations, un prétexte de malfaiteurs !
 
    De cette aberration naît une spirale, sombre et envoûtante, engloutissant ce précieux tiers. Il disparaît, s'évanouissant telle une étoile filante, ne devenant rien de plus qu'un jeu pour les seigneurs des finances, au lieu d'être le sang vital de notre économie.
 
    O cri du cœur ! Quand retentira le glas de la justice et de l’intelligence des peuples ? Car, pour chaque effort, une rémunération est due ; et de chaque trésor engendré, un partage noble et digne doit surgir.
 
Le Triptyque de la Richesse
 
    Dans l'ombre du passé se dresse la silhouette d'une pensée économique ancienne, solidifiée par les siècles, protégée par ceux-là mêmes qui, tels des vautours, se nourrissent du labeur d'autrui. Oui, ce crime ancestral, qui fait des pauvres les serviteurs des riches, doit être remis en question.
 
    Pour chaque labeur porté, chaque effort consenti, le salaire se doit d'être la douce mélodie d’un travail accompli, non pas un adieu pour solde de tout compte, alors que de la richesse est produite et qu'un bénéfice en est sorti.
 
    Or, lorsque surgit une pièce d'or, ne doit-on pas se demander : qui en sont les véritables sculpteurs ? L'État, ce grand bâtisseur de cités, veillant à chaque pierre, chaque mur, chaque route par la magie de l'impôt qui rend la tâche possible. L'entrepreneur, ce visionnaire audacieux, qui, plongeant dans son trésor, avance l’argent qui va donner la vie à un rêve. Et enfin, le salarié, l'artisan véritable de l’outil de production, celui dont les mains et l'esprit transforment le rêve en or.
 
    Ces trois acteurs, en une danse éternelle, tissent le drap précieux de notre société et doivent à parts égales en être les bénéficiaires dans une justice inébranlable. Au cœur de ce ballet divin, dans un murmure presque céleste, nous discernons une vérité : ces trois piliers se doivent, dans une harmonie parfaite, de partager équitablement les trésors issus de leur union, sans que l'un porte le fardeau de l'injustice. Il n'y aura aucune alternative, si nous voulons entrer dans un cercle vertueux et sortir du cercle vicieux dans lequel nous sommes.
 
La Lamentation des Terres Oubliées : On ne paye pas pour les terres en friches
 
    Dans l'ombre glaciale des corridors du pouvoir, des silhouettes vêtues d'étoffes somptueuses tracent, de leurs plumes asséchées par l'indifférence, le destin d'un monde qu'ils ne connaissent pas mais dont ils profitent. Ils subventionnent pour que des terre reste en friche. La terre, cette mère généreuse, gît abandonnée, stérile, ne produisant que des mauvaises herbes, alors qu'elle pourrait donner du blé.  L'horizon, autrefois verdoyant, se flétrit, témoin des cris silencieux de ceux qui, dans leur faim, implorent un grain, une miette, une chance. Et ce sont ces mêmes spectres boursouflés par le mensonge qui nous disent que la terre est trop petite pour nourrir tous les peuples !
 
    Dans des palais d'ivoire, se tiennent ces hommes et ces femmes qui, au nom de fantomatiques "lois" du marché, sacrifient le cœur battant de l'humanité. Ne sont-ils pas, en vérité, les vrais vassaux, enchaînés à leurs propres illusions, croyant maîtriser le sort de millions, tout en étant eux-mêmes prisonniers de leurs propres créations qui seraient burlesque ci elle n'étaient aussi faucheuse de vies ?
 
    Le cri de l'âme humaine est clair : il ne saurait être asservi à des règles sans âme. Il est de notre devoir, dans cette odyssée sans fin de la justice et de la compassion, de chercher, d'inventer, de bâtir des ponts et non des murs. Dans la balance cosmique, lorsque la politique devient faucheuse, nous, les gardiens de la lumière, devons éclairer le chemin, pour que plus jamais nous n'ayons à dénombrer les étoiles éteintes de notre ciel.
 
Les Ombres du Pouvoir : Écho des Âges
 
    Dans la vaste épopée du temps, là où les étoiles se mêlent aux rêves des hommes, il se trouve que les titans d'aujourd'hui, revêtus de leur manteau d'orgueil, marchent lourdement, écrasant sous leurs pieds les espoirs de la multitude. Leurs voix tonnent, mais leurs paroles sont vides, un écho creux dans le vaste théâtre du monde.
 
    Quand on se penche à l'oreille du vent, on entend les murmures de ces êtres lumineux d'autrefois, qui, bien qu'imparfaits, cherchaient à tisser un futur d'or et d'argent pour ceux qui suivraient. Leur quête n'était pas achevée, mais leur flambeau éclairait le chemin pour ceux qui venaient après.
 
    Or, que voyons-nous aujourd'hui ? Des géants aux pieds d'argile, préoccupés par la minutie de la gestion de la dette profitant à quelques milliers, plutôt que par la grande symphonie de la politique. Ils ont perdu la mélodie, l'harmonie qui relie le passé, le présent et l'avenir.
 
    Les sentinelles d'autrefois se sont évanouies, remplacées par de simples gardiens des intérêts de la dette du temps présent, propriétaires des milliardaires prêteurs d’argent volé aux mêmes États à qui ils prêtent. Pourtant, le monde attend, espère, et implore un renouveau, une nouvelle aurore où les leaders seraient des visionnaires, des bâtisseurs, des rêveurs, des créateurs de monde, pour construire un avenir meilleur pour les peuples et leurs Nations.
 
Les Échos du Trône : Les Oubliés de la Voix du Peuple
 
    Dans la grandeur silencieuse de notre République, les tours et les bastions s'élèvent, mais leurs fondations semblent trembler. Car les hommes qui autrefois brandissaient des étendards de visions, des rêves pour le peuple, ne sont plus que les simples gardiens des coffres appartenant aux milliardaires.
 
    N'est-ce point là une trahison, une déviation de la route sacrée que le peuple, dans sa sagesse et sa confiance, leur a tracée ? Ils ont confié une lyre pour entonner des hymnes d'espoir et de prospérité, et non un simple cahier de comptes qui ne leur appartient plus.
 
    Ah, si seulement ceux qui se tiennent sous les projecteurs pouvaient reconnaître leur véritable rôle, et laisser à César ce qui appartient à César, alors peut-être, la symphonie des nations jouerait de nouveau en harmonie des partitions d’espoir.
 
Les Éclats d'une Étoile Lointaine : Un Credo pour l'Humanité
 
    Les puissants, ces géants aux pieds d'argile, s’adonnent avec minutie à l'art des trivialités, perdant de vue les constellations d'espoirs et d'améliorations. Dans la quête frénétique de la couronne s'éteint la flamme sacrée d'un monde meilleur. Dans le tumulte de leurs ambitions, la mélodie de compassion, de méditation, d'honneur se voit étouffée, ne laissant qu'un écho lointain.
 
    Ô peuples éveillés, l'heure est venue de brandir les étendards de justice, de mener une guerre non pas sous l’égide de la cupidité ou de la tromperie, mais une guerre de lumière, de vérité, une guerre pour le cœur même de l'humanité.
 
    Ce sera notre croisade, notre noble combat, non pour la spoliation ou la trahison, mais pour l'épanouissement et la légitime défense contre ce mondialisme, défendu par des fous, des idiots et évidemment par l’oligarchie milliardaire qui en est le propagandiste, à travers leur propriété, les médias collaborateurs.
 
    Face à la grandeur abyssale de ce défi, où le sort même de notre espèce est en balance. Unis, main dans la main,  seuls les peuples les nations pourront s'élever, tels les phares d'espoir, guidant notre chemin vers la renaissance contre cette tyrannie annoncée des mondialistes milliardaires, ces loups dans la bergerie. N’en doutez surtout pas, voilà nos vrais et nos seuls ennemis.
 
    Cette fin est sans alternative. Ou eux, les oligarques milliardaires, qui lorsqu’ils se seront tout approprié, n’auront besoin que d’un milliard d’esclaves et n’auront de cesse d’éliminer ce qu’ils considèreront comme un surplus. Ou nous, les Nations et les peuples qui comprenant le danger sans issue ferons tomber cette hydre nauséabonde, puis nous nationaliserons les milliards qu’ils ont volés aux nations et aux peuples depuis des générations.
 
    Pour que cette horreur ne puisse plus jamais se reproduire, il nous faudra écrire dans le marbre d’une - Déclaration universelle des Droits de l’Humanité -, « qu’un individu ou une personne morale qui n’est pas un État ne peut être propriétaire de biens supérieur, sous quelque forme que ce soit, à un milliard en équivalent or. Qu'au-dessus de cette somme les biens seront nationalisés au bénéfice du pays qui abrite cette personne morale ou physique"
Roger MESTRES - 2004 -
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