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AU SEUIL DE L'ÉCONOMIE POLITIQUE.
 
 
Qui sont nos vrais ennemis ?
 
Au cœur de l'économie politique, ainsi que dans l'art de guérir, l'âme humaine se voit face à une bifurcation, une dualité de méthodes, une antinomie de soins. L'une apaise l'effroi, la souffrance éphémère, sans guérir le mal qui ronge les entrailles ; l'autre s'attaque au mal profond, celui qui s'insinue, et dans son sillage, console la douleur, non comme son but premier, mais comme un acte bienveillant incident. Ô Messieurs, vous qui décidez de notre sort, quelle serait la potion que vous désireriez que l'apothicaire vous serve si le mal vous accablait ?
 
Depuis un âge qui semble éternel, je perçois que les "sages" qui murmurent aux oreilles de nos dirigeants, leur prescrivent, hélas ! La première de ces panacées. Ces soigneurs, méfiez-vous, ne se bornent point à seulement bercer le peuple dans un sommeil d'illusion. Ils possèdent l'art obscur de plonger dans le sommeil tous ceux qui oscillent, ou plutôt ceux déjà figés dans le temps, incluant, et c'est avec tristesse que je le dis, nos propres guides, et tous les êtres dans leur ombre.
 
Est-ce là ce qu'on leur enseigne dans ces temples du savoir, d'où émergent ceux que l'on nomme élites ? Persuader et assoupir pour régner, peu importe la vérité qui se cache derrière le voile, car la fin semble justifier tous les moyens. Laissez-moi, dans ce souffle, éclaircir ce terme "élite", non du point de vue de l'intellect, car une telle lumière innée ne s'apprend point, mais du caractère. Le véritable caractère, cette étoile brillante que les citoyens devraient chercher en ceux qui, sans hésitation, se proclament sa manifestation vivante. Les véritables élites ne sont pas celles qui dictent aux autres, mais celles qui, avant tout, se montrent impitoyablement rigoureuses envers elles-mêmes.
 
AU CŒUR DES REMÈDES : UN ÉCHO À L'ÉTERNITÉ.
 
LES SOLUTIONS EXISTENT.
 
Dans les voûtes sombres de nos gouvernements, Messieurs, vous qui portez la couronne du pouvoir, les clés pour déverrouiller les entraves économiques de notre ère existent bel et bien. Mais prenez garde ! Ces clés, vous ne les découvrirez point dans les sphères mystiques des devins, où certains se perdent en quêtes de prophéties. Ces remèdes, en cette époque où l'horizon se noircit, ne peuvent plus se chercher dans l'expansion insatiable, dans l'ardeur guerrière, ni dans l'accusation de l'innocent, ni en s'appropriant ce qui ne nous appartient pas. L'ère de la division a fait son temps. La véritable guérison se trouve dans une quête ascendante : une réflexion profonde, l'éclosion d'idées révolutionnaires.
 
Ces solutions, précieuses, ne peuvent être que le produit d'un regard qui embrasse le tout, qui saisit l'humanité dans sa splendeur et ses misères. Elles doivent être incarnées par toutes les Nations, sans distinction. Elles ne sont point le patrimoine exclusif de la droite ou de la gauche, et encore moins de leur extrêmes. Ces clés appartiennent à l'humanité, dans toute sa complexité, avec un dessein d'un intérêt qui transcende nos différences. Toute solution, qui n'aspire point à cette élévation, n'est guère plus qu'un pansement sur une plaie béante.
 
Les faux remèdes qui consistent à s'endetter pour apaiser temporairement les cris des opprimés jettent nos sociétés dans les griffes des usuriers sans scrupules, les milliardaires, les Rothschild, les Bill Gates, les George Soros, les Rockefeller et les autres disséminés dans le monde entier. Leur nuisance est incalculable avec leurs outils transnationaux, leurs Fondations qui sont les masques qui cachent leurs vrais visages et leurs puanteurs fétides. Ces marchands du Temple modernes, qui soumettent le monde sous le poids écrasant de la dette, de la finance spéculative et prédatrice. En échange de leurs pièces sonnantes, ils demandent à ces nations endettées de leur payer les intérêts de cette dette, de vendre leur patrimoine, les joyaux du peuple, à des prix dérisoires.
 
Ces mêmes maîtres des finances, après avoir manipulé les cœurs et les marchés, revendent ces actions au sommet de leur valeur, et, dans un jeu d'ombre et de lumière, les rachètent à chaque baisse qu'ils ont eux-mêmes orchestrée. Ces stratagèmes, nés de leurs desseins, dépouillent les petits épargnants de leurs maigres économies. L'acte est accompli : ils ont pillé les nations, dérobé l'avenir des plus faibles, et rempli leurs coffres.
 
N'oublions point l'impact dévastateur qu'ils ont sur nos Nations, manipulées par des chants de sirènes financières. Ces Nations, aspirées dans le vortex de dettes, se voient contraintes d'accabler leurs citoyens de taxes, ou pire encore, de s'effondrer sous le poids de leurs dettes. Les pièges financiers, inventés par ces charlatans, engloutissent une part considérable des richesses produites, tout cela au détriment du peuple. Le monde entier gît sous ce joug financier, cette danse macabre. Mais, par une volonté politique inébranlable, nous pouvons trancher ce nœud qui étrangle notre avenir. Comme Alexandre l’a fait, il est temps de couper ces chaînes et ce nœud !
 
En ces moments de réflexion profonde, je me permets une parenthèse, une échappée à travers le voile du temps, pour évoquer une étonnante vérité - une qui pourrait, de prime abord, prêter à sourire, mais qui se tient là, solennelle dans sa véracité. Me voici, devant vous, osant poser cette question inattendue : "Ces barons de la finance, seraient-ils les apôtres de Marx ? ". Oui, étonnez-vous, mais réfléchissez ! Si l'on considère que le cœur battant du marxisme économique repose sur l'acquisition des instruments de production et la portée universelle de cette doctrine, alors ces financiers, artisans de l'usure et de la spéculation, s'érigent, en fervents marxistes de notre époque l’internationaliste ou pour parler avec des mots contemporains, le Mondialiste de Klaus Schwab. Marx, lui, voyait son idéal réalisé par le bras du prolétariat, les mondialistes par les milliardaires. Pauvre Marx en voulant le paradis sur terre des prolétaires, il a donné l’outil fatal aux pires ennemis des peuples et des Nations.
 
Finalement, cette théorie, empreinte d'espérances et de périls, s'est incarnée par deux forces : celle des apparatchiks soviétiques, et celle des magnats de l'or dans nos pseudodémocraties. Chacun, à sa manière, témoigne des dérives possibles de cette grande vision, conduisant invariablement à des cataclysmes globaux, et à une oppression implacable des deux côtés du mur.
 
D'un côté, une vision du monde aspirant à uniformiser l'homme, à le métamorphoser en une créature docile, sans reliefs ni éclats, où toute singularité est une menace à éliminer. De l'autre, un monde où l'homme n'est plus qu'un jouet dans les mains des dieux de la finance, réduit à un pion dans un jeu d'échecs grandeur nature, une comédie pseudodémocratique où les règles sont dictées par ces rois Midas modernes, tirant les ficelles de leurs pantins politiques.
 
Politiques, oh combien impuissants, n'ayant pour seul dessein que d'exécuter les volontés de leurs bienfaiteurs, les véritables financiers de leurs ambitions. Tout ceci, qu'il s'agisse de droite ou de gauche, n'est qu'un théâtre orchestré pour le bénéfice d'une poignée d'oligarques, habiles manipulateurs et pilleurs de nos destins.
 
LES CATACLYSMES ÉCONOMIQUES MAJEURS : UNE LAMENTATION AUX ÉCHOS DU PASSÉ
 
Oh illustres dirigeants, qui, avec ardeur, vous épuisez dans le labyrinthe des dettes, naviguant sur des mers agitées, cherchant à satisfaire l'appétit insatiable de ces charognards financiers ! Toujours la même rengaine, emprunter encore, et encore, dans ce bal sans fin. Mais où sont les interrogations légitimes, celles qui cherchent à distribuer l'or et l'argent, à alimenter ce vaste mécanisme économique qui est le pouls de nos nations ? Jadis, un homme d'État nous sommait de dépenser, d'infuser la vie dans ce système. Ah, si ce Premier ministre eût été à nos côtés, nous lui aurions clamé : "Avant de dépenser, il nous faudrait, monsieur, posséder."
 
Vous, gardiens de l'or, votre boussole semble défectueuse. Les lois que vous édictez, les chaînes que vous forgez, ne mènent-elles pas, invariablement, à ces grandes tempêtes économiques ? Jusqu'à ce jour, notre remède a été cruel et barbare : détruire pour mieux renaître, la guerre ! Cette réponse, toujours injuste, sans loi, ne faisant appel qu'à la violence pure, engendrait, paradoxalement, une renaissance : le plein-emploi, fruit de la nécessité de rebâtir ce qui a été anéanti.
 
Ensuite, le cycle infernal reprenait. Les coffres, épargnés par la furie guerrière, s'ouvraient généreusement à ceux ayant tout dévasté. Cette danse macabre, nous la connaissons bien, elle est notre quotidien. Car par une distribution inéquitable, par des jeux d'ombres et de lumières, les richesses se retrouvent enserrées dans les mains d'un cercle restreint, qui, aveuglés par leur soif, cherchent à accroître leur fortune par tous les moyens.
 
Mais voilà, cette frénésie spoliatrice asphyxie le cœur battant de notre économie, privant notre machine des combustibles nécessaires à sa vitalité. La spirale continue, atteignant une apogée tragique où les biens produits restent orphelins des Nations et des Peuples. Et comme un malheur n'arrive jamais seul, la production s'immobilise, engendrant un chômage sans précédent qui, telle une morsure venimeuse, n'accroît que davantage le mal, tout en remplissant les poches de nos bourreaux actionnaires mondialistes, les ennemis de l’humanité caché derrière des masques de bienfaiteurs qui ne trompe plus que les gens sans cervelle.
 
Face à ce chaos, pointer du doigt l'autre, le voisin d'au-delà de nos frontières, est une fausse piste, une dérobade. L'heure des accusations stériles est révolue. Il est temps de sonder les abysses, de déceler la véritable affliction qui ronge nos terres, qui prive l'âme humaine de son héritage naturel des fruits de son travail. Là, je ne parle pas des millionnaires les belles réussites ne doivent pas nous gêner, je parle des milliardaires de nos vrais ennemis des propriétaires de la dette du monde de ceux qui pillent les Nations et les Peuple, de ceux-là il faudra nous en débarrasser avant qu’il soit trop tard !

 
Roger MESTRES - avril 2007

 
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